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Créer un forum avec les représentants du gouvernement du Québec, des Premières Nations et de la nation inuite, dans le but de prévoir la place des autochtones dans la Constitution québécoise en cas d’indépendance.[5]
Reconnaitre l’apport des immigrants et autochtones à la société québécoise.[1]
Ce parti n’a pas de position sur cet enjeu.
Assurer un droit à l’autodétermination pour les peuples autochtones. Québec solidaire souhaite permettre aux peuples autochtones d’avoir une plus grande autonomie gouvernementale et territoriale.[6]
Mettre en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et prendre en compte les recommandations du rapport de la Commission de vérité et réconciliation du Canada.[3][4]
Appuyer l'autodétermination des peuples autochtones, notamment sur la gestion de leur territoire et le contrôle de leurs services sociaux.[7]
Établir des rapports de respect, d’équité et de réciprocité avec les Premières Nations et les Inuits.[2]
Mettre en place un encadrement serré du cannabis. Le Parti québécois souhaite un âge légal à 18 ans, une distribution contrôlée par la SAQ et une tolérance zéro au volant.[11]
Légaliser et réglementer le cannabis et ses dérivés.[6]
Permettre à plus de personnes et d’entreprises de participer à la production et à la vente du cannabis.[14]
Encadrer plus strictement la légalisation du cannabis.[12][13]
Encadrer la légalisation du cannabis en interdisant la consommation de marijuana dans tous les lieux publics et en rehaussant l’âge légal de consommation à 21 ans.[9][10]
Ce parti n’a pas de position sur cet enjeu.
Prévenir, réduire et traiter les conséquences liées à la consommation de substances psychoactives.[8]
Abrogation de la loi 62 et ouverture d’une consultation pour mettre à jour les recommandations de la Commission Bouchard-Taylor. Le NPDQ veut établir une politique de la neutralité religieuse de l’État en s’inspirant de cette consultation.[2]
Augmenter de façon importante le budget du Ministère de la Culture et des Communications.[15]
Financer davantage les arts et la culture québécoise.[17]
Offrir un accès plus large aux connaissances, aux informations, aux idées et aux œuvres.[6]
Interdire le port de signes religieux au personnel de l’État en position d’autorité (incluant les enseignants).[10][4]
Réviser les subventions accordées dans le domaine de la culture afin de mieux les cibler. Le PCQ veut encourager l’émergence de jeunes artistes, le démarrage de nouveaux projets artistiques, la diffusion de projets, faciliter l’accès à la culture pour le grand public et créer un mécénat privé fort.[16][13]
Faire du secteur culturel un moteur de la croissance économique québécoise.[1]
Investir pour améliorer le système d'éducation et axer la formation professionnelle aux besoins du marché du travail.[18]
Mettre en place un système de prématernelle non obligatoire, universel et gratuit dès l’âge de 4 ans.[10][19]
Éliminer les subventions publiques aux écoles privées sur dix ans.[17]
Garantir un accès gratuit à l’éducation du préscolaire jusqu’à l’université.[6]
Supprimer les commissions scolaires francophones.[13][21]
Réduire les subventions de l’État aux écoles privées et investir cet argent dans le réseau public.[2]
Accorder plus d’argent aux écoles publiques afin d’en améliorer la qualité et celle des conditions de travail des enseignant(e)s. En contrepartie, le Parti Québécois veut donner moins d’argent aux écoles privées.[20]
Aider le développement des coopératives et de l'économie sociale, notamment en collaborant davantage avec les actrices et les acteurs du milieu.[2]
Accélérer la numérisation de l’économie québécoise par un plan de 28 mesures basé sur cinq grandes phases d’intervention : stimuler l'innovation par les nouvelles technologies numériques ; accélérer la numérisation des entreprises et favoriser le commerce électronique; renforcer les secteur des TIC; doter le Québec d'un savoir-faire en technologie numérique; assurer un environnement d’affaires attrayant et favorable au secteur numérique .[22]
Baisser la semaine de travail normale à 32h d'ici 2022.[25]
Favoriser un nationalisme économique en incitant les Québécois(es) à acheter des produits québécois, notamment en faisant la promotion des aliments locaux.[23]
Limiter les hausses de taxes et de tarifs pour les services gouvernementaux au taux d’inflation.[10]
Renforcer l’économie publique comme les services publics et les sociétés d’État et nationaliser de grandes entreprises dans certains secteurs stratégiques.[6]
Présenter des budgets au moins équilibrés (sans déficit)[24][13]
Réduire l’utilisation de l’automobile en incitant à prendre les transports en commun.[30]
Promouvoir la mise sur pied d’un Tribunal international de justice climatique et environnementale.[6]
Augmenter l’exportation de l’électricité produite au Québec.[10][27]
Explorer et d’exploiter les ressources naturelles, tout en exigeant un impact minimal sur l’environnement.[13][29]
Réduire l’utilisation par l’industrie de produits combustibles à des fins énergétiques et éliminer l’utilisation de ces produits pour le chauffage des bâtiments.[2]
Abroger la Loi sur les hydrocarbures et sortir le Québec du pétrole.[28]
Renforcer l’efficacité énergétique par une bonification au programme Éco-performance.[26]
Rendre l’UPAC indépendante des pouvoirs politiques. La nomination de son chef serait faite par un vote des deux tiers de l’Assemblée nationale.[9][10]
Étudier la possibilité de permettre le vote par Internet.[33][13]
Soutenir une réforme du mode de scrutin pour mettre en place un mode de scrutin mixte compensatoire régional (un vote pour un député de circonscription et un deuxième pour un parti politique au choix).[34]
Changer le mode de scrutin pour un système mixte qui introduit la proportionnelle, où 60 % des député(e)s seraient élu(e)s selon le mode actuel (uninominal à un tour) et les autres 40 % selon les résultats proportionnels.[6]
Favoriser une réforme électorale intégrant une représentation proportionnelle. Le NPDQ veut que chaque parti ait une représentation à l’Assemblée nationale qui reflète le vote populaire obtenu.[2]
Modifier le mode de scrutin actuel pour le remplacer par un système proportionnel mixte régional.[32]
Remettre l’impartialité de l’État au centre de la vie politique et administrative.[31]
Accepter un plus grand nombre de réfugié(e)s au Québec et au Canada.[36]
Proposer une politique complète et cohérente d’immigration, de soutien à l’intégration et d’aide à l’investissement, dans une perspective à moyen et à long termes.[2]
Informer les candidat(e)s à l’immigration des exigences demandées pour la reconnaissance de leurs diplômes et de leurs qualifications.[32]
Exiger qu’Ottawa améliore la surveillance des frontières canadiennes.[13][35]
Donner aux immigrant(e)s les moyens de réussir leur intégration au Québec.[22]
Accélérer l’évaluation des compétences professionnelles des nouveaux immigrants et faciliter la reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger.[4][10]
Favoriser l'apprentissage du français par un accès au travail et à l’éducation, une ouverture aux différences culturelles et l'égalité sociale.[6]
Moderniser l’administration de la justice afin d'en réduire les délais et de la rendre plus accessible.[10][9]
Créer une Charte québécoise des droits des victimes comprenant les dispositions suivantes : 1. le droit à un soutien juridique adéquat (aide juridique pour les victimes); 2. le droit à des indemnisations justes et équitables; 3. le droit d’être consultées sur les décisions judiciaires les concernant; et 4. le droit d’être protégées avant, pendant et après le processus judiciaire (cas de violence conjugale).[13][38]
Investir dans les cinq prochaines années pour lutter contre la violence conjugale. Le Parti libéral du Québec veut investir pour appliquer plusieurs nouvelles mesures pour lutter contre ce problème.[37]
Faciliter l’accès à la justice en diminuant ses coûts et ses délais.[32]
Investir davantage de ressources dans le système judiciaire.[39]
Favoriser la réinsertion sociale des anciens détenus plutôt que la répression.[6]
Renforcer les droits des consommatrices et des consommateurs.[2]
Assurer l’accès à des logements sociaux pour les citoyen(ne)s les plus vulnérables. Le Parti vert du Québec souhaite construire 50 000 logements sociaux au Québec.[39]
Mettre en place des logements supervisés pour les personnes atteintes d’une maladie dégénérative (sclérose en plaques, Parkinson, etc.).[32]
Investir afin d’améliorer le logement social.[40]
Réaménager les villes et les campagnes pour les rendre plus attrayantes.[10][41]
Renforcer la protection des acheteuses et des acheteurs de maison en s’assurant que tous les inspecteurs en bâtiments respectent plusieurs obligations (ex : être enregistré auprès d’une instance gouvernementale).[2]
Investir de manière importante dans les logements sociaux de qualité.[6]
Permettre aux propriétaires d’exiger un dépôt de garantie à la signature d’un bail.[13][42]
Orienter le travail des intervenants en santé vers la prévention.
Donner davantage d’autonomie aux 200 000 professionnels de la santé autres que les médecins.[32]
Rémunérer les hôpitaux par épisode de soins pour stimuler la concurrence.[13][45]
Réviser en profondeur la rémunération des médecins et l’organisation des soins médicaux.[2]
Faciliter l’accès aux soins et désengorger les urgences des hôpitaux.[43]
Améliorer l'accès aux consultations sans rendez-vous afin et favoriser l’ouverture des groupes de médecine familiale le soir et les fins de semaine afin de désengorger les urgences.[10][44]
Tenir compte de tous les éléments de la santé d’une personne, comme sa santé physique, dentaire, visuelle et mentale, mais aussi son environnement.[46]
Tenir un référendum sur la souveraineté du Québec dans un deuxième mandat (en 2022, si le Parti québécois rempote les élections générales en 2018).[48]
Préserver les caractéristiques de la société québécoise tout en augmentant la participation du Québec dans la Fédération canadienne. Le PCQ veut encourager le libre-échange à l’intérieur du Canada.[13][49]
Créer, en cas de victoire, une Assemblée constituante. Cette assemblée élue au suffrage universel devra préparer une constitution pour un Québec indépendant.
Se maintenir au sein du Canada, tout en défendant l'identité de la nation québécoise.[47]
Assurer une plus grande autonomie au Québec tout en demeurant au sein du Canada.[10][4]
Faire reconnaitre le Québec comme nation et avoir une marge de manœuvre au sein de la Fédération canadienne.[2]
Reconnaitre le Québec comme nation, mais ne pas sortir de la Fédération canadienne.[34]
Instaurer une forme de revenu universel mise en place sur dix ans, avec une évaluation de ses impacts sur la réduction de la pauvreté.[2]
Ajouter des cours de cuisine saine au programme scolaire des écoles primaires et secondaires du Québec. Ces cours incluront une formation à la cuisine végétarienne et la cuisine végétalienne.[55]
Mettre en place le Projet Saint-Laurent qui a pour objectif de tirer profit du fleuve Saint-Laurent. La CAQ souhaite développer l’industrie maritime, le tourisme et instaurer des zones d’innovation qui favoriseront le partage et l’échange entre les chercheur(e)s et les entrepreneur(e)s.[27][51][52]
Un gouvernement du Parti conservateur du Québec s’engage à abolir Revenu Québec pour réduire les dépenses de l’État de plusieurs millions de dollars et pour simplifier la vie des contribuables.[13][54]
Encourager la mise en place aux plans local et régional de mécanismes de démocratie participative, délibérative et directe, c’est-à-dire de participation citoyenne.[6]
Accélérer l’arrivée de la technologie dans les salles de classe : Favoriser l’implantation de l’usage de la programmation informatique et du codage à des fins pédagogiques dans la majorité des écoles primaires et secondaires, publiques et privées, d’ici l’année scolaire 2020-2021.[50]
Le Parti Québécois s’engage à entreprendre un processus de décentralisation économique et politique du Québec. Pour ce faire, il compte faire le tour des régions afin de dresser un diagnostic précis et partagé, dans le but de redessiner la décentralisation et de penser la régionalisation à l’horizon 2020 et augmenter significativement les enveloppes budgétaires consacrées au développement local et régional.[53]