Nouveau parti démocratique du Québec
42 ans
Ville natale: Montréal
Raphaël Fortin est originaire de Montréal. Il est diplômé de l’UQAM en administration des affaires. Il travaille depuis douze ans dans la restauration. Il est impliqué dans son syndicat et dans l’association Nez rouge. Il s’est présenté deux fois aux élections provinciales sans jamais être élu. Raphaël Fortin devient chef du NPDQ le 21 janvier 2018. Il parle trois langues.
Établir des rapports de respect, d’équité et de réciprocité avec les Premières Nations et les Inuits.[1]
Introduire dans la législation et les règlements administratifs du Québec les dispositions de la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.[1]
ComparerAbrogation de la loi 62 et ouverture d’une consultation pour mettre à jour les recommandations de la Commission Bouchard-Taylor. Le NPDQ veut établir une politique de la neutralité religieuse de l’État en s’inspirant de cette consultation.[1]
Proposer une politique culturelle basée sur les consultations récentes pour améliorer l’accès à la culture.[1]
ComparerRéduire les subventions de l’État aux écoles privées et investir cet argent dans le réseau public.[1]
Mettre en place une gratuité scolaire réelle (même le matériel pédagogique) à tous les niveaux d’études.[1]
ComparerAider le développement des coopératives et de l'économie sociale, notamment en collaborant davantage avec les actrices et les acteurs du milieu.[1]
Réduire les emplois précaires et hausser le salaire minimum à 15 dollars de l’heure.[1]
ComparerRéduire l’utilisation par l’industrie de produits combustibles à des fins énergétiques et éliminer l’utilisation de ces produits pour le chauffage des bâtiments.[1]
Éliminer toutes les subventions aux entreprises polluantes d’ici 2025.[1]
ComparerFavoriser une réforme électorale intégrant une représentation proportionnelle. Le NPDQ veut que chaque parti ait une représentation à l’Assemblée nationale qui reflète le vote populaire obtenu.[1]
Mettre en œuvre toutes les recommandations du rapport de la Commission Charbonneau.[1]
ComparerProposer une politique complète et cohérente d’immigration, de soutien à l’intégration et d’aide à l’investissement, dans une perspective à moyen et à long termes.[1]
Réévaluer les programmes existants afin d’organiser l’orientation et l’intégration des immigrant(e)s en fonction de la capacité d’accueil, des opportunités et des besoins dans chaque région du Québec.[1]
ComparerRenforcer la protection des acheteuses et des acheteurs de maison en s’assurant que tous les inspecteurs en bâtiments respectent plusieurs obligations (ex : être enregistré auprès d’une instance gouvernementale).[1]
ComparerRéviser en profondeur la rémunération des médecins et l’organisation des soins médicaux.[1]
Baser les soins sur la pertinence, l’accessibilité et la fin des listes d’attente plutôt que le volume et le minutage des soins.[1]
ComparerFaire reconnaitre le Québec comme nation et avoir une marge de manœuvre au sein de la Fédération canadienne.[1]
Coopérer avec les autres provinces et avec le gouvernement fédéral sur plusieurs enjeux.[1]
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