Parti québécois

Jean-François Lisée

À propos de Jean-François

64 ans

Ville natale: Thetford Mines

Jean-François Lisée est originaire de Thetford Mines dans la région Chaudière-Appalaches. À la fin des années 1970, il se rend à Montréal pour faire des études de droit à l’UQAM, avant de continuer ses études à Paris en journalisme. Il est journaliste, auteur d’ouvrages politiques et conseiller politique. En 2012, il est élu député de Rosemont, et en 2016, il devient chef du Parti québécois. Jean-François Lisée est aussi le père de cinq enfants.


Affaires autochtones

Créer un forum avec les représentants du gouvernement du Québec, des Premières Nations et de la nation inuite, dans le but de prévoir la place des autochtones dans la Constitution québécoise en cas d’indépendance.[1]

Régler les problèmes de logements sociaux chez les communautés autochtones et inuites, particulièrement au Nunavik.[1]

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Cannabis

Mettre en place un encadrement serré du cannabis. Le Parti québécois souhaite un âge légal à 18 ans, une distribution contrôlée par la SAQ et une tolérance zéro au volant.[2]

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Culture et identité

Augmenter de façon importante le budget du Ministère de la Culture et des Communications.[3]

Taxer les biens et les services achetés à l’étranger sur Internet (exemple : Netflix).[3]

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Éducation

Accorder plus d’argent aux écoles publiques afin d’en améliorer la qualité et celle des conditions de travail des enseignant(e)s. En contrepartie, le Parti Québécois veut donner moins d’argent aux écoles privées.[6]

Retirer le cours d'Éthique et culture religieuse et le remplacer par un cours d'Éthique et citoyenneté québécoise. Le Parti Québécois compte aussi mettre en place un cours d’histoire obligatoire au cégep.[7]

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Économie

Favoriser un nationalisme économique en incitant les Québécois(es) à acheter des produits québécois, notamment en faisant la promotion des aliments locaux.[4]

Lutter contre l’évasion fiscale et taxer le commerce électronique pour permettre plus d’équité entre les entreprises québécoises et étrangères.[4]

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Environnement

Abroger la Loi sur les hydrocarbures et sortir le Québec du pétrole.[8]

Donner au premier ministre le titre de responsable du développement durable et créer un Ministère du Climat, de l’Environnement et de l’Énergie.[9]

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Gouvernement et transparence

Modifier le mode de scrutin actuel pour le remplacer par un système proportionnel mixte régional.[10]

Décentraliser une partie du pouvoir économique et politique au profit des régions. Le PQ souhaite que les politiques du gouvernement s’adaptent selon les besoins de chaque région.[11]

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Immigration

Informer les candidat(e)s à l’immigration des exigences demandées pour la reconnaissance de leurs diplômes et de leurs qualifications.[10]

Contrer la discrimination dans le domaine du travail, du logement, etc.[10]

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Justice

Faciliter l’accès à la justice en diminuant ses coûts et ses délais.[10]

Augmenter l’aide aux victimes d’actes criminels.[10]

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Logement

Mettre en place des logements supervisés pour les personnes atteintes d’une maladie dégénérative (sclérose en plaques, Parkinson, etc.).[10]

Construire un minimum de 3000 nouvelles unités de logement social par année.[10]

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Soins de santé

Donner davantage d’autonomie aux 200 000 professionnels de la santé autres que les médecins.[10]

Imposer un gel de la rémunération des médecins et rouvrir l’entente avec les médecins spécialistes.[10]

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Souveraineté

Tenir un référendum sur la souveraineté du Québec dans un deuxième mandat (en 2022, si le Parti québécois rempote les élections générales en 2018).[12]

Remettre à jour les études sur l’indépendance.[10]

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🃏 Joker

Le Parti Québécois s’engage à entreprendre un processus de décentralisation économique et politique du Québec. Pour ce faire, il compte faire le tour des régions afin de dresser un diagnostic précis et partagé, dans le but de redessiner la décentralisation et de penser la régionalisation à l’horizon 2020 et augmenter significativement les enveloppes budgétaires consacrées au développement local et régional.[11]

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