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Garde d'enfants

De nombreuses personnes croient que la reprise économique post-COVID doit prévoir un accès à de bonnes options en matière de garde d’enfants afin que les parents, et surtout les femmes, puissent retourner travailler. Le coût et la qualité des services de garde au Canada dépendent de l’endroit où vous habitez. Un sondage de 2019 a révélé que le coût mensuel médian des services de garde dans les grandes villes du pays allait de 179 $ à 1 774 $ par mois. C’est au Québec que les coûts sont les plus faibles, alors que le gouvernement provincial finance en grande partie le régime public de services de garde et fixe le prix de ces services.

S'il est élu, un gouvernement néo-démocrate présenterait une loi qui engagerait le Canada à offrir des services de garde d'enfants publics de haute qualité et collaborerait avec les provinces pour créer un système de garde d'enfants à 10 $ par jour pour tous.[5][6]

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S'il est élu, un gouvernement Vert instituerait un système de garde d'enfants universel accessible à tous les enfants, peu importe le statut professionnel ou le niveau de revenu de leurs parents.[7][8]

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Un gouvernement libéral réduirait les frais de garde de 50 % l’an prochain et continuerait de conclure des ententes avec les provinces et les territoires afin de mettre en place un programme de services de garde à 10 $ par jour au cours des cinq prochaines années. Un gouvernement libéral travaillerait également avec le Québec pour s’inspirer de son propre système de garde d’enfants.[1][2]

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Les conservateurs annuleraient le nouveau programme de services de garde du gouvernement fédéral, mais ils permettraient aux provinces et aux territoires qui ont déjà conclu des ententes de conserver les déjà versés. S’il est élu, un gouvernement conservateur convertirait la en un remboursable couvrant jusqu’à 75 % des frais de garde d’enfants pour les familles à faible revenu. Une famille dont le revenu est de 30 000 $ recevrait un remboursement pouvant atteindre 6 000 $ par année, tandis qu'une famille dont le revenu est de 50 000 $ recevrait 5 200 $.[3][4]

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Économie

En 2021, alors que l’économie canadienne se relève péniblement des effets des confinements liés à la pandémie, la gestion et la promotion de l’activité économique seront de grandes priorités pour le parti au pouvoir. Les signes d’une économie saine comprennent des niveaux d’emploi élevés, des salaires décents, des entreprises rentables, de nouvelles mises en chantier, des taux d’intérêt ou d’emprunt faibles et la croissance générale de l’activité économique et de la consommation de biens et de services.

Un gouvernement libéral travaillerait avec d’autres pays pour instaurer un taux d’imposition minimal afin que les particuliers et les entreprises soient tenus de payer les impôts qu’ils doivent au Canada et cessent de faire de l’évasion fiscale en s’installant dans d’autres pays où les taux sont moins élevés.[1][2]

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Le Bloc Québécois affirme que les entreprises saisonnières ayant perdu deux saisons à cause de la pandémie (par exemple, les cabanes à sucre) devraient recevoir plus d’aide du gouvernement fédéral.[9]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD maintiendrait les subventions pour les petites entreprises destinées à les aider à payer les loyers et les salaires, jusqu’à ce qu’elles puissent reprendre pleinement leurs activités, après la pandémie. Un gouvernement du NPD payerait les cotisations que les petites entreprises doivent généralement verser à l’AE ou au RPC pour les nouveaux employés ou des employés réembauchés et il plafonnerait à 1 % le taux que les petites entreprises doivent verser aux compagnies de carte de crédit.[5][6]

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Un gouvernement conservateur verserait des prêts pouvant atteindre 200 000 $ aux petites et moyennes entreprises dans les secteurs de la vente au détail, du tourisme et de l’hôtellerie. Jusqu’à 25 % de ces prêts n’auraient pas à être remboursés.[3][4]

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S'il est élu, un gouvernement Vert présenterait une loi sur la transition juste avant la fin de 2021. Le but de cette loi serait de s'assurer que la transition vers une économie décarbonée se déroule d'une manière équitable qui protège les communautés et les personnes affectées (comme les travailleurs dans les industries à forte intensité de gaz à effet de serre, les peuples Autochtones, les communautés marginalisées).[7][8]

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Éducation et formation

Même si l’éducation est une responsabilité provinciale, le gouvernement fédéral prévoit un soutien à l’éducation par le financement de la recherche et la formation professionnelle, la création de programmes qui aident les Canadiens à épargner en vue de leurs études post-secondaires et le versement de prêts et de bourses par le truchement du Programme canadien d’aide financière aux étudiants. Dans le budget de 2021, le gouvernement fédéral s’est engagé à investir 5,7 milliards de dollars sur cinq ans afin d’instaurer des mesures qui ont pour but d’aider les jeunes à accéder aux études supérieures et à trouver un emploi.

S’il est élu, un gouvernement conservateur doublerait le montant du pour la création d’emploi des pour les trois prochaines années afin de couvrir les coûts de l’embauche d’.[3][4]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral éliminerait de façon permanente l’intérêt sur la portion fédérale des prêts d’études et des prêts canadiens aux et ils prolongeraient le délai de remboursement du pour les personnes célibataires. Ainsi, les nouveaux diplômés n'auront pas à commencer à rembourser leurs prêts avant de gagner au moins 50 000 dollars par an.[1][2]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD supprimerait les intérêts (frais liés aux emprunts) de tous les prêts d’études et il effacerait jusqu’à 20 000 $ de dette étudiante par diplômé. Un gouvernement du NPD doublerait également la bourse d’études canadienne.[5][6]

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Le Bloc Québécois exige qu’Ottawa contribue aux initiatives québécoises touchant l’accompagnement, la formation et le réseautage destinés aux entrepreneuses, afin de favoriser l’égalité des femmes et des hommes.[9]

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S'il est élu, un gouvernement Vert annulerait toutes les dettes de prêts étudiants détenues par le gouvernement fédéral.[7][8]

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Énergie et changement climatique

Le Canada possède de nombreuses et vastes sources d’énergie qui comprennent le pétrole et le gaz, le charbon, ainsi que l’hydroélectricité, la biomasse et l’énergie solaire, géothermique, éolienne, marémotrice et nucléaire. Environ 82 % des émissions de gaz à effet de serre du Canada proviennent de la consommation et de la production d’énergie. Cette énergie, qui alimente les maisons et entreprises du Canada, est également exportée, ce qui représente une partie importante de l’économie. En 2019, le Canada a exporté 134,3 milliards de dollars en produits énergétiques dans 141 pays.

Un gouvernement libéral s'engagerait à réduire les émissions de gaz à effets de serre de 40 % à 45 % (par rapport au niveau de 2005) d’ici 2030. Il viserait la carboneutralité pour 2050 en instaurant des de réduction des émissions sur cinq ans pour l’industrie gazière et pétrolière et il exigerait des entreprises de cette industrie qu’elles réduisent leurs émissions de de 75 % (par rapport au niveau de 2012) d’ici 2030.[1][2]

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S’il est élu, le gouvernement conservateur supprimerait la pour les particuliers et la remplacerait par un nouveau Compte d’épargne personnel pour la réduction du carbone. Ainsi, chaque fois qu’une personne achète du carburant à base d’hydrocarbure, elle verse une somme additionnelle dans son compte d’épargne personnel. Cette somme commencerait à 20 $ la tonne pour finalement atteindre 50 $ la tonne à une date ultérieure. L’argent versé dans ce compte d’épargne ne pourrait servir qu’à acheter des produits permettant de réduire leur , comme un abonnement au transport en commun, un véhicule électrique ou des rénovations écoénergétiques.[10][11][12][13][14]

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Le Bloc Québécois souhaite modifier la Loi sur la carboneutralité pour y ajouter les objectifs de réduction de gaz à effet de serre que le gouvernement canadien s’est fixés.[9]

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S'il est élu, un gouvernement Vert chercherait à réduire les émissions de gaz à effet de serre de 60% par rapport aux niveaux de 2005 d'ici 2030. Pour y arriver, un gouvernement Vert introduirait des objectifs et échéanciers clairs pour les réductions, et ce, à partir de 2023.[7][8]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD établirait une cible de réduction des émissions de gaz à effets de serre d’au moins 50 % par rapport aux niveaux de 2005, et ce, d’ici 2030. Pour y parvenir, un gouvernement du NPD créerait un Bureau de la responsabilité climatique. Il aurait pour fonction de s’assurer que les contrôles financiers et les décisions du gouvernement, comme le choix des personnes à qui la Banque du Canada prête de l'argent, respectent l'objectif de carboneutralité.[5][6]

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Environnement

Les gouvernements fédéral et provinciaux réglementent les activités de l’industrie, du gouvernement et de ses partenaires commerciaux afin de limiter les incidences de ces activités sur l’environnement et la santé. Le gouvernement fédéral conclut également des ententes et des partenariats au niveau international afin de protéger l’environnement. En 2021, le gouvernement fédéral a fixé une nouvelle cible pour réduire les émissions du Canada de 40 à 45 % en deçà des niveaux de 2005 d’ici 2030, et a adopté la Loi canadienne sur la responsabilité en matière de carboneutralité qui vise à réduire les émissions à néant d’ici 2050 ou avant. Une économie carboneutre ne produirait aucune émission de gaz à effet de serre, ou compenserait ces émissions au moyen d’autres mesures, notamment en plantant des arbres.

Un gouvernement conservateur interdirait l’exportation de déchets de plastique vers des pays étrangers.[15][16][17]

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S'il est élu, un gouvernement du NPD présenterait une Charte des droits environnementaux afin de protéger légalement les droits des Canadiens à un environnement sain.[5][6]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral reconnaîtrait le droit à un environnement sain par une loi.[1][2]

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S'il est élu, un gouvernement Vert garantirait le droit à un environnement sain, de façon juridiquement contraignante.[7][8]

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Le Bloc Québécois aimerait que le fédéral mette en place des critères environnementaux rigoureux dans l’attribution de contrats publics.[9]

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Soins de santé

Les gouvernements provinciaux et territoriaux sont chargés de fournir des soins de santé à leurs résidents. Pour leur venir en aide, le gouvernement fédéral leur verse un financement par le truchement du Transfert canadien en matière de santé. En 2021-2022, les provinces et les territoires recevront 43,1 milliards de dollars en financement pour la santé. Même si ce montant doit augmenter au cours des années à venir, les premiers ministres provinciaux et territoriaux voudraient que le gouvernement s’engage à investir davantage pour les aider à financer les coûts croissants des soins de santé.

S’il est élu, un gouvernement conservateur prioriserait la signature de contrats pour des vaccins de rappel de la COVID et aiderait les provinces à les administrer.[3][4]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral investirait 6 milliards de dollars de plus pour éliminer les listes d’attente dans le système de santé. Un gouvernement libéral verserait également 3,2 milliards de dollars aux provinces et territoires pour leur permettre d’engager 7 500 médecins de famille, infirmiers et infirmières et infirmiers praticiens/infirmières praticiennes.[1][2]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD travaillerait avec les provinces et les territoires pour améliorer l’accès aux soins de santé essentiels et réduire les temps d’attente pour les traitements et les opérations. Il faudrait pour cela créer une plateforme financée par l’État offrant des services de santé virtuels et établir un plan pour recruter et garder en poste des médecins, des infirmiers et infirmières et d’autres professionnels de la santé.[5][6]

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Le Bloc Québécois affirme que le gouvernement fédéral devrait augmenter les transferts en santé, sans condition, jusqu’à couvrir 35 % des coûts des soins.[9]

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Un gouvernement Vert ordonnerait une pour examiner la réponse à la pandémie de tous les ordres de gouvernement et réfléchir à ce qui aurait pu être mieux fait.[7][8]

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Logement et abordabilité

En mars 2021, le prix des maisons au Canada a atteint des sommets encore inégalés, surtout en C.-B. et en Ontario. La construction de maisons plus abordables, le resserrement de la réglementation encadrant le prix des maisons et la prestation d’incitatifs financiers aux acheteurs d’une première maison sont quelques-unes des solutions proposées pour remédier à ce problème. Alors que les Canadiens font face à une hausse du prix des maisons et des loyers, d’autres coûts sont également en hausse. Les Canadiens paient plus cher pour leur épicerie, car la chaîne d’approvisionnement alimentaire a été touchée par la pandémie et certains incidents environnementaux, comme les feux de forêt.

Le Bloc Québécois propose qu’Ottawa investisse progressivement en logement social, communautaire et réellement abordable jusqu’à atteindre 1 % de ses revenus annuels totaux afin d’assurer un financement constant et prévisible.[9]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD créerait 500 000 nouvelles unités de logement abordable en dix ans, dont la moitié serait prête dans cinq ans. Un gouvernement du NPD mettrait sur pied des de démarrage rapide pour accélérer le versement des dont les collectivités ont besoin pour construire des logements abordables, et n’imposerait pas la TPS ou la portion fédérale de la TVH à la construction d’unités abordables.[5][6]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral accorderait 600 millions de dollars pour aider à convertir des bureaux et des locaux commerciaux vides en logements. Il s'agit notamment des bâtiments appartenant à des entreprises privées et des bâtiments appartenant au gouvernement fédéral.[18][19]

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Un gouvernement Vert déclarerait l'abordabilité du logement et l'itinérance une urgence nationale.[7][8]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur libérerait au moins 15 % des biens immobiliers du gouvernement fédéral (qui comprend plus de 37 000 bâtiments) pour le logement.[3][4]

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Immigration

Chaque année, des centaines de milliers de personnes élisent domicile au Canada. Les seuils d’immigration pour 2021-2023 établissent le nombre de nouveaux résidents permanents que l’on pourra admettre au pays. En vertu de ces seuils, le Canada veut accueillir plus de 400 000 immigrants chaque année. Ces chiffres sont plus élevés que d’habitude, car la pandémie de COVID-19 a limité le nombre d’immigrants reçus au pays en 2020.

Le Bloc Québécois compte proposer plusieurs mesures afin de réduire les délais de traitement des demandes de résidence permanente et d’immigration. Ils exigent le transfert du programme de travailleurs étrangers temporaires au Québec.[9]

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S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate supprimera les plafonds sur le nombre de demandes qui peuvent être soumises pour parrainer les parents et les grands-parents de citoyens canadiens afin qu'ils immigrent au Canada.[5][6]

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S'il est élu, un gouvernement Vert mettrait fin à l'Entente sur les tiers pays sûrs, qui exige que les demandeurs d'asile demandent une protection dans le premier pays sûr où ils arrivent.[20][21]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral travaillerait avec les employeurs et les collectivités pour faire venir 2 000 réfugiés qualifiés au Canada afin de remédier aux pénuries de main-d’œuvre dans des secteurs comme les soins de santé.[1][2]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur permettrait à ceux qui attendent l’examen de leur demande d’immigration de payer des frais pour en accélérer le traitement. Les recettes ainsi générées permettraient d’engager plus de personnel pour traiter les demandes.[3][4]

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Relations avec les autochtones

Les peuples autochtones ont habité le territoire que l’on appelle aujourd’hui le Canada pendant des milliers d’années avant la Confédération et ont des droits uniques qui sont reconnus et affirmés dans la Constitution. Malgré cela, depuis plus d’un siècle, le gouvernement canadien a pris des mesures pour éliminer les systèmes de gouvernance autochtone et les modes de vie traditionnels. Des enfants autochtones ont été retirés de leur famille et de leur foyer pour être envoyés dans des pensionnats où ils étaient souvent victimes de violences. Même si le gouvernement fédéral a présenté des excuses officielles aux survivants des pensionnats et établi la Commission de vérité et réconciliation pour guider le processus de guérison, les effets des politiques autochtones du Canada ont eu des effets durables qui se font encore sentir aujourd’hui, notamment des niveaux de revenus, d’éducation et de santé inférieurs à ceux de la population non-autochtone.

S’il est élu, un gouvernement libéral ferait construire un national à Ottawa en l'honneur des survivants et des victimes des .[1][2]

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S'il est élu, un gouvernement du NPD collaborerait avec les peuples autochtones pour soutenir leurs droits en mettant en œuvre la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et chacun des 94 appels à l'action de la Commission de vérité et réconciliation.[5][6]

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Un gouvernement Vert travaillerait avec les Premières Nations, la Nation métisse et les Inuits et leurs institutions dirigeantes de nation à nation pour créer des accords ainsi que pour élaborer et concevoir conjointement des politiques et des programmes qui profiteront aux Premières Nations, à la Nation métisse et aux Inuits.[7][8]

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Le Bloc Québécois souhaite travailler avec les nations autochtones pour renforcer et garantir leurs droits inhérents. Il compte veiller à ce que le gouvernement fédéral applique intégralement la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.[9]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur développerait un plan pour mettre en place les appels à l’action 71 à 76 des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation. Un gouvernement conservateur ferait également ériger un à Ottawa pour honorer les survivants des et créerait une série de ressources pour les Canadiens de tous âges au sujet des pensionnats.[4][3]

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Relations internationales

Pendant la majeure partie des années 2020 et 2021, la priorité consistait à freiner la propagation de la COVID au Canada. Cependant, d’autres enjeux importants (comme les changements climatiques) dépassent nos frontières nationales et politiques. Le Canada conclut des ententes et des partenariats avec d’autres pays à des fins commerciales, pour offrir une aide et coopérer afin de régler des problèmes de portée mondiale.

Un gouvernement Vert signerait et ratifierait le Traité d'abolition des armes nucléaires, un accord international juridiquement contraignant qui vise à éliminer les armes nucléaires à l'échelle mondiale.[7][8]

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S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate appuierait la paix dans le monde en favorisant le désarmement nucléaire, en s'engageant à nouveau dans le maintien de la paix et en s'assurant que les armes fabriquées au Canada ne sont pas utilisées dans des conflits étrangers ou dans des violations des droits de la personne.[5][6]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur mettrait à jour les lois pour empêcher l’ de produits issus de l’esclavage.[3][4]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral augmenterait les sommes que le Canada consacre à l’, et ce, tous les ans jusqu’en 2030, afin d’atteindre les objectifs de développement durable des Nations Unies. Un gouvernement libéral investirait également dans de nouveaux destinés à l’éducation des filles et des réfugiés et il doublerait son financement voué aux organismes communautaires de défense des droits des femmes.[1][2]

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Le Bloc Québécois propose que le Canada exerce un rôle important au sein de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) afin de mettre en place une commune de reconnaissance et d’approbation des vaccins, de la vaccination mixte et de l’encadrement des quarantaines, celle-ci tenant compte des développements de la pandémie dans les différents pays et de l’apparition de variants.[9]

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Justice et éthique

L’administration de la justice au Canada relève des gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux et de l’appareil judiciaire. Au niveau fédéral, le ministère de la Justice est chargé de promouvoir le respect des droits et libertés, le droit et la Constitution et de veiller à ce que le Canada soit une société juste et respectueuse de la loi dotée d’un système de justice accessible, efficace et équitable. Malgré cela, certaines personnes continuent d’être victimes de discrimination fondée sur des facteurs comme le genre, l’âge, l’orientation sexuelle, la religion, la culture, l’ethnicité ou l’invalidité. Lorsque des conflits surviennent entre des citoyens ou des ordres de gouvernement, les tribunaux règlent les différends, interprètent et font respecter la loi.

Dans un délai de 100 jours, un gouvernement libéral réélu réintroduirait l’interdiction des thérapies de conversion, élargissant cette interdiction afin d’inclure les personnes âgées de plus de 18 ans.[1][2]

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S’il était élu, un gouvernement conservateur interdirait les thérapies de conversion.[3][4]

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Le Bloc Québécois compte déposer à nouveau un projet de loi pour instaurer le financement public des partis politiques afin d’éliminer les risques de favoritisme ou de corruption.[9]

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S'il est élu, un gouvernement Vert supprimerait les peines minimales obligatoires et il développerait un modèle de justice réparatrice qui viserait à réduire l'implication dans le système judiciaire pénal pour se concentrer plutôt sur la guérison de toutes les personnes impliquées dans le système judiciaire pénal.[7][8]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD adopterait immédiatement une loi pour interdire les thérapies de conversion.[5][6]

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Assurance-médicaments

Le Canada est le seul pays doté d’un système universel de soins de santé qui n’offre pas également un système d’assurance-médicaments universel. Actuellement, la plupart des Canadiens font appel à leur régime d’assurance au travail pour se procurer les médicaments sur ordonnance dont ils ont besoin. Même si les gouvernements provinciaux et territoriaux ont mis en place des régimes pour aider leurs résidents à obtenir des médicaments d’ordonnance, dans la plupart des régions, seuls certains groupes, comme les aînés et les personnes à faible revenu, y sont admissibles.

S’il est élu, un gouvernement du NPD travaillerait avec les provinces pour instaurer un régime national d’assurance-médicaments, avec un de 10 milliards de dollars par année du gouvernement fédéral.[5][6]

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S'il est élu, un gouvernement Vert étendrait le système de santé du Canada pour inclure un régime national d'assurance-médicaments universel d'ici 2022.[22][23]

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Transport et transport en commun

Dans un pays aussi grand que le Canada, la circulation fluide des gens et des marchandises est importante. La politique de transport prend également énormément de place dans les discussions sur les changements climatiques, puisque le transport, après l’industrie pétrolière et gazière, est l’un des secteurs qui contribuent le plus aux émissions de gaz à effet de serre.

Un gouvernement Vert élu exigerait et soutiendrait une transition plus rapide vers les énergies renouvelables dans tous les secteurs de transport.[7][8]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur ferait de tout blocage des infrastructures publiques ou des réseaux de transport public, comme les chemins de fer, une infraction criminelle punissable.[3][4]

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S’il est élu, un gouvernement du NPD doublerait de façon permanente le pour le développement des collectivités du Canada, qui assure un financement stable aux municipalités canadiennes afin de bâtir leurs infrastructures.[5][6]

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Le Bloc Québécois exige le transfert, sans condition, au Québec de toute somme fédérale dédiée à la construction d’infrastructures.[9]

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S'il est réélu, un gouvernement libéral s'engagerait à développer un réseau de trains à haute fréquence. Un gouvernement libéral poursuivrait le projet de train à haute fréquence entre Toronto et Québec, reliant Peterborough, Ottawa, Montréal et d'autres centres urbains. Un gouvernement libéral poursuivrait le projet du corridor Toronto/Québec, avec des arrêts à Trois-Rivières et Peterborough. Il explorerait aussi la possibilité de le prolonger vers London et Windsor.[1][2]

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L’atout

Le gouvernement du Québec, son Assemblée nationale et la Charte de la langue française défendent le français comme seule langue commune et officielle du Québec. Le Bloc Québécois souhaite utiliser toutes ses ressources pour s’assurer que la Loi sur les langues officielles fédérale ne s’applique plus aux entreprises privées du Québec.[9]

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S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate travaillerait avec Postes Canada afin de mettre en place le modèle de banques postales.[5][6]

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Un gouvernement Vert soutiendrait des systèmes alimentaires humains et durables, favoriserait une alimentation plus végétale et réduirait la consommation d'aliments d'origine animale, comme le recommande le Guide alimentaire Canadien.[7][8]

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S’il est réélu, un gouvernement libéral obligerait les détenteurs d’une arme d’assaut de vendre leur arme au gouvernement afin qu’il la détruise ou la rende inutilisable aux frais du gouvernement. Un gouvernement libéral imposerait également d’autres restrictions sur les fusils et réserverait au moins 1 milliard de dollars pour aider les provinces et les territoires qui décident d’imposer une interdiction sur les armes de poing.[1][2]

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S’il est élu, un gouvernement conservateur engagerait 200 agents de la GRC dans la région du Grand Toronto et du Lower Mainland (en Colombie-Britannique) pour lutter contre les gangs et le trafic d’armes et de drogues. Un gouvernement conservateur élargirait la base de données sur la surveillance et le contrôle des armes à feu à l’échelle nationale.[3][4]

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