Bloc Québécois
57 ans
Ville natale: Drummondville, Québec
Yves-François a étudié l’histoire et l’anthropologie à l’Université de Montréal avant de travailler comme enseignant et de fonder une agence d’artistes, d’enregistrement et de production de concerts, YFB Inc. En 2006, il a été nommé personnalité d’affaires de l’année par la Chambre de commerce de Drummondville. En 2008, il a été élu député à l’Assemblée nationale au sein du Parti Québécois et a été ministre du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs. En janvier 2019, Yves-François a été élu chef du Bloc Québécois par acclamation.
Aucune position officielle n'a été prise sur ce sujet.
Le Bloc Québécois affirme que les entreprises saisonnières ayant perdu deux saisons à cause de la pandémie (par exemple, les cabanes à sucre) devraient recevoir plus d’aide du gouvernement fédéral.[1]
Le Bloc Québécois souhaite que le Canada impose davantage les géants du Web (par exemple, Netflix).[1]
ComparerLe Bloc Québécois exige qu’Ottawa contribue aux initiatives québécoises touchant l’accompagnement, la formation et le réseautage destinés aux entrepreneuses, afin de favoriser l’égalité des femmes et des hommes.[1]
ComparerLe Bloc Québécois souhaite modifier la Loi sur la carboneutralité pour y ajouter les objectifs de réduction de gaz à effet de serre que le gouvernement canadien s’est fixés.[1]
Le Bloc Québécois s’oppose au développement du nucléaire.[1]
ComparerLe Bloc Québécois aimerait que le fédéral mette en place des critères environnementaux rigoureux dans l’attribution de contrats publics.[1]
Le Bloc Québécois propose d’imposer le principe du « pollueur-payeur » et de récompenser les efforts des provinces qui luttent effectivement contre les changements climatiques.[1]
ComparerLe Bloc Québécois affirme que le gouvernement fédéral devrait augmenter les transferts en santé, sans condition, jusqu’à couvrir 35 % des coûts des soins.[1]
Le Bloc Québécois compte soutenir les soins à domicile au moyen du .[1]
ComparerLe Bloc Québécois propose qu’Ottawa investisse progressivement en logement social, communautaire et réellement abordable jusqu’à atteindre 1 % de ses revenus annuels totaux afin d’assurer un financement constant et prévisible.[1]
Le Bloc Québécois souhaite que toutes les propriétés excédentaires fédérales soient consacrées prioritairement au développement de logements sociaux, communautaires et très abordables afin de contribuer à réduire la crise du logement.[1]
ComparerLe Bloc Québécois compte proposer plusieurs mesures afin de réduire les délais de traitement des demandes de résidence permanente et d’immigration. Ils exigent le transfert du programme de travailleurs étrangers temporaires au Québec.[1]
Pour lutter contre la discrimination à l’embauche, le Bloc Québécois propose que le gouvernement fédéral donne l’exemple en ayant recours aux curriculum vitae anonymes au sein de la fonction publique.[1]
ComparerLe Bloc Québécois souhaite travailler avec les nations autochtones pour renforcer et garantir leurs droits inhérents. Il compte veiller à ce que le gouvernement fédéral applique intégralement la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones.[1]
Le Bloc Québécois soutient l’application du droit à l’ interne, ainsi que du droit inhérent des peuples autochtones à l’autonomie gouvernementale.[1]
ComparerLe Bloc Québécois propose que le Canada exerce un rôle important au sein de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) afin de mettre en place une commune de reconnaissance et d’approbation des vaccins, de la vaccination mixte et de l’encadrement des quarantaines, celle-ci tenant compte des développements de la pandémie dans les différents pays et de l’apparition de variants.[1]
Le Bloc Québécois souhaite que le Canada obtienne le consentement du Québec avant de prendre une position dans un enjeu relevant de ses compétences, notamment à l’.[1]
ComparerLe Bloc Québécois compte déposer à nouveau un projet de loi pour instaurer le financement public des partis politiques afin d’éliminer les risques de favoritisme ou de corruption.[1]
Le Bloc Québécois milite pour un processus impartial de nomination des juges.[1]
ComparerAucune position officielle n'a été prise sur ce sujet.
Le Bloc Québécois exige le transfert, sans condition, au Québec de toute somme fédérale dédiée à la construction d’infrastructures.[1]
Le Bloc Québécois soutient le train à grande fréquence Toronto-Québec passant par Trois-Rivières.[1]
ComparerLe gouvernement du Québec, son Assemblée nationale et la Charte de la langue française défendent le français comme seule langue commune et officielle du Québec. Le Bloc Québécois souhaite utiliser toutes ses ressources pour s’assurer que la Loi sur les langues officielles fédérale ne s’applique plus aux entreprises privées du Québec.[1]
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