Parti conservateur
49 ans
Ville natale: Montreal, Quebec
Erin O’Toole est né à Montréal, au Québec. Il est l’aîné de cinq enfants qui ont grandi à Bowmanville, en Ontario, où son père travaillait pour General Motors. À 18 ans, Erin s’est inscrit au Collège militaire royal du Canada et est devenu un officier de l’Aviation royale canadienne à 22 ans. En 2000, il a terminé son service militaire actif et a commencé des études en droit à l’Université Dalhousie. Erin a pratiqué le droit pendant près de dix ans avant de décider de se présenter pour le Parti Conservateur lors d’une élection partielle fédérale dans la circonscription de Durham. En 2020, il est devenu le chef du Parti Conservateur du Canada. Erin est un membre fondateur du conseil d’administration de la fondation True Patriot Love, un organisme de bienfaisance au service des anciens combattants.
Les conservateurs annuleraient le nouveau programme de services de garde du gouvernement fédéral, mais ils permettraient aux provinces et aux territoires qui ont déjà conclu des ententes de conserver les déjà versés. S’il est élu, un gouvernement conservateur convertirait la en un remboursable couvrant jusqu’à 75 % des frais de garde d’enfants pour les familles à faible revenu. Une famille dont le revenu est de 30 000 $ recevrait un remboursement pouvant atteindre 6 000 $ par année, tandis qu'une famille dont le revenu est de 50 000 $ recevrait 5 200 $.[6][10]
ComparerUn gouvernement conservateur verserait des prêts pouvant atteindre 200 000 $ aux petites et moyennes entreprises dans les secteurs de la vente au détail, du tourisme et de l’hôtellerie. Jusqu’à 25 % de ces prêts n’auraient pas à être remboursés.[6][10]
S’il est élu, un gouvernement conservateur inciterait les employeurs à engager du personnel en payant jusqu’à 50 % du salaire des nouveaux employés qui étaient sans emploi et qui dépendaient de la . Cette aide serait offerte aux entreprises pour une période de six mois.[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur doublerait le montant du pour la création d’emploi des pour les trois prochaines années afin de couvrir les coûts de l’embauche d’.[6][10]
Un gouvernement conservateur investirait 250 millions de dollars sur deux ans en subventions destinées à des organisations qui aident les travailleurs à suivre une formation, et offrirait des prêts à faible taux d’intérêt pouvant atteindre 10 000 $ pour les individus désirant perfectionner leurs compétences.[6][10]
ComparerS’il est élu, le gouvernement conservateur supprimerait la pour les particuliers et la remplacerait par un nouveau Compte d’épargne personnel pour la réduction du carbone. Ainsi, chaque fois qu’une personne achète du carburant à base d’hydrocarbure, elle verse une somme additionnelle dans son compte d’épargne personnel. Cette somme commencerait à 20 $ la tonne pour finalement atteindre 50 $ la tonne à une date ultérieure. L’argent versé dans ce compte d’épargne ne pourrait servir qu’à acheter des produits permettant de réduire leur , comme un abonnement au transport en commun, un véhicule électrique ou des rénovations écoénergétiques.[1][2][3][4][5]
Sous un gouvernement conservateur, les entreprises continueraient de payer un prix pour la consommation de carbone. Ce prix serait similaire aux prix du carbone de l’Union européenne et des États-Unis. Si, après deux ans, nous n’avons pas fait suffisamment de progrès vers une économie verte, un gouvernement conservateur ferait passer la tarification du carbone industriel à 170 $ la tonne d’ici 2030. Un gouvernement conservateur pourrait également imposer des sur des produits importés au Canada et provenant de pays qui n’adoptent pas une tarification similaire sur le carbone ou qui n’ont pas mis en place de plans pour réduire leurs émissions.[1][5]
ComparerUn gouvernement conservateur interdirait l’exportation de déchets de plastique vers des pays étrangers.[7][8][9]
S’il est élu, un gouvernement conservateur investirait 3 milliards de dollars de plus pour développer des solutions climatiques naturelles, comme la gestion des forêts, des cultures et des pâturages, et la restauration des prairies, des milieux humides et des forêts, entre maintenant et 2030.[1][5]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur prioriserait la signature de contrats pour des vaccins de rappel de la COVID et aiderait les provinces à les administrer.[6][10]
Un gouvernement conservateur évaluerait toutes les personnes entrant au pays (aux points d’entrée frontaliers de même que dans les aéroports) afin de dépister d’éventuels symptômes de la COVID, et ce peu importe leur statut vaccinal. Il offrirait également des tests de dépistage rapides à domicile.[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur libérerait au moins 15 % des biens immobiliers du gouvernement fédéral (qui comprend plus de 37 000 bâtiments) pour le logement.[6][10]
Un gouvernement conservateur créerait une mesure incitant les propriétaires fonciers à donner des propriétés à des dans le but de bâtir des logements abordables et de créer une de construction de logements « pour les Autochtones, par les Autochtones ».[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur permettrait à ceux qui attendent l’examen de leur demande d’immigration de payer des frais pour en accélérer le traitement. Les recettes ainsi générées permettraient d’engager plus de personnel pour traiter les demandes.[6][10]
Un gouvernement conservateur mettrait fin au pour la réunification des familles, et le remplacerait par le système premier arrivé, premier servi, qui priorise les demandeurs en fonction de critères comme la garde d’enfants ou le soutien familial, et la maîtrise du français ou de l’anglais.[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur développerait un plan pour mettre en place les appels à l’action 71 à 76 des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation. Un gouvernement conservateur ferait également ériger un à Ottawa pour honorer les survivants des et créerait une série de ressources pour les Canadiens de tous âges au sujet des pensionnats.[10][6]
Un gouvernement conservateur encouragerait les communautés autochtones à devenir des partenaires des projets d’exploitation des ressources naturelles, comme les pipelines et les mines, en offrant 5 milliards de dollars en prêts garantis aux groupes autochtones afin qu’ils puissent dans des projets d’exploitation de ressources énergétiques.[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur mettrait à jour les lois pour empêcher l’ de produits issus de l’esclavage.[6][10]
Un gouvernement conservateur mettrait également à jour la Loi de Sergei Magnitsky pour permettre au Parlement et à des groupes de citoyens de faire directement pression sur le ministre pour qu’il désigne des responsables en vertu de la Loi et exiger que le ministre réponde par écrit aux pétitions ayant un certain degré de soutien.[6][10]
ComparerS’il était élu, un gouvernement conservateur interdirait les thérapies de conversion.[6][10]
Un gouvernement conservateur ne soutiendrait pas une visant à contrôler ou à réglementer l’avortement.[6][11][10][12]
ComparerAucune position officielle n'a été prise sur ce sujet.
S’il est élu, un gouvernement conservateur ferait de tout blocage des infrastructures publiques ou des réseaux de transport public, comme les chemins de fer, une infraction criminelle punissable.[6][10]
Un gouvernement conservateur exigerait que 30 % de tous les véhicules légers (voitures personnelles, camionnettes et camions légers) vendus soient des véhicules à émission zéro d’ici 2030, et investirait 1 milliard de dollars dans la fabrication de au Canada. Un gouvernement conservateur travaillerait également avec les provinces pour offrir davantage de bornes de chargement de partout au pays.[6][10]
ComparerS’il est élu, un gouvernement conservateur engagerait 200 agents de la GRC dans la région du Grand Toronto et du Lower Mainland (en Colombie-Britannique) pour lutter contre les gangs et le trafic d’armes et de drogues. Un gouvernement conservateur élargirait la base de données sur la surveillance et le contrôle des armes à feu à l’échelle nationale.[6][10]
Un gouvernement conservateur verserait 100 millions de dollars pour former les forces de l’ordre sur les dossiers de l’exploitation sexuelle, la cybersécurité, les infractions en ligne et les enquêtes sur les agressions sexuelles.[6][10]
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