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Un gouvernement conservateur annulerait la taxe sur le carbone.[4]
Un gouvernement libéral réélu mettrait en place un salaire minimum fédéral à 15 $ l'heure, qui augmenterait avec l'inflation. Pour les provinces et les territoires où un salaire minimum plus élevé est déjà en place, ces minimums resteront.[1]
Le Bloc Québécois fera campagne pour l’obtention d’un droit de retrait avec pleine compensation et sans condition pour le Québec. Une fois complétée et consolidée au sein du gouvernement du Québec, l’élimination des doublons administratifs permettra d’économiser des centaines de millions de dollars qui pourront être réinjectés pour bonifier les programmes en question.[9]
Un gouvernement du Parti populaire effectuera une révision du système de la gestion de l’offre. Le système de la gestion de l’offre force des secteurs spécifiques à limiter leur offre de produit afin de garantir des prix stables et prévisibles. Un gouvernement formé par le Parti populaire supprimera progressivement les quotas sur les produits laitiers pour augmenter l’offre et diminuer les prix pour les consommateurs canadiens. Les agriculteurs qui seront touchés par cette mesure obtiendront des compensations en même temps qu’ils s’ajusteront au nouveau système.[2][3]
Un gouvernement libéral réélu planterait deux milliards d'arbres d’ici dix ans avec l’aide d'un fond de 3 milliards de dollars pour des solutions climatiques naturelles. Le fond soutiendrait les efforts visant à mieux gérer, conserver et restaurer les forêts, les prairies, les terres agricoles, les zones humides et les zones côtières.[10]
S’il était élu, un gouvernement néo-démocrate déclarerait l’état d’urgence climatique et chercherait à faire du Canada un chef pour la réduction de gaz à effet de serre (GES). Le NPD investirait dans des technologies vertes afin de stabiliser la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius.[15][16]
Un gouvernement conservateur se concentrerait sur les technologies vertes et non pas sur les taxes. Il faudrait que les grands émetteurs investissent dans des technologies vertes et mettent en place des incitations à l’innovation verte. Cela contribuerait également à rendre notre environnement naturel plus propre et plus vert et à lutter contre les changements climatiques au niveau mondial.[12]
Le Bloc propose la péréquation verte, une réforme fiscale qui remodèlerait la taxe carbone, déplacerait une partie de l’impôt sur le revenu vers la fiscalité verte et reverrait la formule de péréquation pour y inclure des incitations à lutter beaucoup plus activement contre les changements climatiques.[9]
Un gouvernement formé par le Parti populaire ne financerait pas les interventions du gouvernement visant à lutter contre les changements climatiques.[11]
S'il est élu, le gouvernement conservateur créera un corridor unique pour la réalisation de grands projets de construction, dans le but de minimiser les impacts environnementaux et les coûts d'évaluation.[4]
S'il est élu, le Bloc québécois veillera à ce que les Québécois ne paient pas pour les milliards de dettes contractées par le programme hydroélectrique à Terre-Neuve.[9]
Si élu, un gouvernement vert maintiendrait les frais sur les sources d’émissions de CO2. Les revenus générés par les frais de cette taxe seront redistribués aux canadiennes et canadiens.[13]
Un gouvernement du Parti populaire abolira la taxe sur le carbone et laissera les gouvernements provinciaux adopter des programmes de réduction des émissions s’ils le souhaitent en utilisant un système de plafonnement et d’échange ou en adoptant une taxe carbone.[11]
Le Québec a demandé à Ottawa d'augmenter les transferts de santé de 6% par an, jusqu'à 25% du coût total du Québec. Sans cette augmentation, il y aurait des pertes de 14 milliards de dollars au cours de la prochaine décennie, ce qui entraînerait une réduction des services de santé.[9]
S'il est élu, le gouvernement conservateur maintiendra l'augmentation annuelle minimale de 3% pour le Transfert canadien en matière de santé. Il investira également 1,5 milliard de dollars dans des appareils d'IRM et de tomodensitométrie afin de réduire les temps d'attente pour un diagnostic par image important.[4]
S’il est élu, un gouvernement du Parti populaire remplacera les paiements en argent du Transfert canadien en matière de santé par un transfert permanent de points d’impôt d’une valeur équivalente. L’intention derrière cette mesure est de donner plus de pouvoir aux provinces et territoires pour qu’elles puissent arriver à surmonter les leurs propres défis comme les longues files d’attente. Les provinces les plus pauvres seront compensées temporairement si les revenus tirés de la taxe sont inférieurs aux paiements de transfert qu'elles recevaient auparavant.[20][21]
S’il sont réélus, les Libéraux établiront des standards nationaux clairs en matière de services de santé mentale et ils continueront d’améliorer l’accès aux soins à la maison et aux soins palliatifs.[19]
Le PPC s’oppose à un programme d’assurance-médicaments centralisé et national. Le PPC croit que notre Constitution devrait être respectée et s’oppose à toute intrusion du gouvernement fédéral dans les compétences provinciales. La santé, incluant l’assurance-médicaments, est une compétence exclusivement provinciale.
S'il est élu, le gouvernement conservateur fera baisser le prix des médicaments et améliorera l'accès à ceux qui n’ont pas les moyens de payer pour ceux-ci. Il n'introduira pas de plan de plusieurs milliards de dollars exigeant des taxes plus élevées et la fin des régimes d'assurance privés.[27]
Si élu, un gouvernement vert améliorera le modèle de soins de santé afin d’y inclure l’assurance-médicaments pour tous ainsi que l’assurance dentaire pour les Canadiens et Canadiennes à faible revenus.[13]
Un gouvernement libéral réélu ira de l’avant avec trois éléments fondamentaux pour la mise en œuvre d’un régime d’assurance-médicaments national en mettant en place : (1) Une Agence canadienne des médicaments coordonnera l’évaluation et la négociation pour le compte des Canadiens; (2) un formulaire national établissant une liste complète des médicaments dont l’efficacité a été prouvée; (3) une Stratégie nationale pour les médicaments coûteux pour le traitement des maladies rares afin d’aider les Canadiens à mieux avoir accès aux traitements efficaces dont ils ont besoin.[25][26]
Le Bloc Québécois travaillera à modifier le système actuel pour déterminer le prix des médicaments qui est actuellement fixé par un mécanisme comparatif avec 4 pays où les médicaments sont parmi les plus chers.[30]
Le Bloc utilisera son droit à la diplomatie lors de missions parlementaires internationales pour promouvoir le Québec, son projet de souveraineté et pour développer un réseau de sympathisants à la cause québécoise.[9]
S'il est élu, un gouvernement libéral créera un centre canadien pour la paix, l'ordre et un bon gouvernement qui aidera ceux qui cherchent à instaurer la paix, à faire progresser la justice, à promouvoir les droits de la personne et la démocratie dans le monde entier.[1]
S'il est élu, un gouvernement conservateur défendra toujours les intérêts du Canada sur la scène mondiale. Un gouvernement conservateur veillerait à rétablir les relations avec des alliés-clés et revigorerait les alliances avec nos alliés démocratiques.[4]
Un gouvernement vert accroiterait le budget de l’aide internationale pour atteindre 0,7% du revenu national brut. En 2018, le Canada a dépensé environ 6,1 milliards de dollars ou 0,28% de son revenu national brut.[13]
Un gouvernement conservateur renforcera le régime enregistré d'épargne-études (REEE) afin de contribuer à l'épargne pour les études postsecondaires en augmentant la contribution du gouvernement de 20 à 30% pour chaque dollars investis jusqu’à 2 500$ par année.[4]
Si élu, un gouvernement vert travaillerait à abolir les frais de scolarité et allouerait dix milliards de dollars pour l’enseignement post-secondaire et pour le soutien aux écoles de métier.[13]
Un gouvernement du Bloc québécois exigera que les investissements fédéraux dans les programmes de formation professionnelle soient investis dans des programmes déjà en place au Québec.[9]
Le PPC croit que notre Constitution devrait être respectée et s’oppose à toute intrusion du gouvernement fédéral dans les compétences provinciales. L’éducation et la formation sont un champ de compétences exclusivement provincial.
S'il est réélu, un gouvernement libéral investira 100 millions de dollars dans la formation des travailleurs des industries vertes.[34]
Le Bloc Québécois a demandé un remboursement de 300 millions de dollars pour les frais engagés au niveau provincial pour le logement, les soins de santé et l'éducation des demandeurs d'asile, alors que cela relève de la responsabilité du gouvernement fédéral.[9]
Un gouvernement conservateur travaillerait immédiatement pour rétablir l’équité, l’ordre et la compassion de notre système d’immigration. S’il est élu, un gouvernement conservateur mettrait fin aux frontières illégales au Canada et réduirait les failles de l’entente sur les tiers pays sûrs afin de rendre le système d’immigration plus équitable.[4]
S'il est réélu, un gouvernement libéral proposera deux programmes. Premièrement, il proposera un programme de candidats municipaux qui permettra aux communautés locales, aux chambres de commerce et aux conseils de travail local de parrainer directement des immigrants permanents. Deuxièmement, le projet pilote sur l'immigration dans l'Atlantique, qui soutient actuellement une immigration accrue dans l'ensemble du Canada atlantique, deviendrait permanent. Au moins 5 000 nouvelles places seraient dédiées à chacun de ces programmes.[1]
S’il est élu, un gouvernement du Parti populaire compte réduire le seuil d’immigration entre 100 000 à 150 00(le seuil fixé s’élève à 330 000 actuellement). La politique d’immigration du Parti populaire mettra l’emphase sur les migrants économiques spécialisés et réduira les seuils dans les catégories de regroupement familial et de réfugiés.[37][38][39]
Le PPC croit que notre Constitution devrait être respectée et s’oppose à toute intrusion du gouvernement fédéral dans les compétences provinciales. Le logement est un champ de compétences exclusivement provincial.
Un gouvernement vert reconnaîtra légalement et protègera le droit au logement comme droit humain pour tous les Canadiens et Canadiennes ainsi que pour les résidents permanents.[13]
Le BQ travaillera au maintien des subventions actuelles destinées aux conventions, tout en bonifiant le budget alloué à la construction, la rénovation et la transformation de logement social et abordable.[9]
Les libéraux iraient de l'avant avec un incitatif à l'achat d'un premier logement. Cela réduirait jusqu'à 10% du prix d'une maison pour aider davantage les Canadiens vivant dans des marchés de logements plus coûteux (pour commencer, les incitatifs seraient offerts aux résidents des régions métropolitaines de Toronto, Vancouver et Victoria).[43]
S’il est élu, un gouvernement conservateur s’attachera à accroître l’offre de logements abordables en réduisant les réglementations dans les provinces et les municipalités qui découragent la construction de logement neufs. Pour y parvenir, un gouvernement conservateur introduirait le concours Construire plus de maisons, qui récompenserait les municipalités qui ont démontré leur capacité à réduire les réglementations qui entravent la construction de maisons neuves.[44][4]
S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate modernisera et accroîtra l’offre de transport en commun dans les collectivités canadiennes. Le financement fédéral du transport collectif sera consacré à la mise en œuvre de projets à faible émission de carbone et à l’électrification des flottes de transport en commun d’ici 2030.[15][16]
Les libéraux croient que le transport en commun est un élément essentiel de ce qui rend nos collectivités de meilleurs endroits où vivre. Dans ses budgets de 2016 et de 2017, les libéraux ont investi 28,7 milliards de dollars dans l’amélioration du transport en commun et dans sa remise en état. Un gouvernement libéral réélu investirait un montant additionnel de 3 milliards de dollars par an dans des transports stables et prévisibles dans les villes canadiennes.[45][1]
S'il est élu, le gouvernement conservateur introduira un crédit d'impôt pour le transport en commun écologique, ce qui offrira aux Canadiens un rabais de 15% sur leurs laissez-passer d'autobus et sur les autres coûts liés au transport en commun.[4]
Le PPC croit que notre Constitution devrait être respectée et s’oppose à toute intrusion du gouvernement fédéral dans les compétences provinciales. Les transports publics sont un champ de compétences exclusivement provincial.
Pour le Bloc, c’est simple: Les sommes dédiées aux infrastructures doivent être transférées sans condition et en bloc au gouvernement du Québec. L’exception à la règle : les quais fédéraux et les petits ports régionaux. Ottawa s’est délesté de ses responsabilités d’entretien durant des décennies.[9]
S'il est élu, un gouvernement vert créera une stratégie nationale de transport éclairé.[13]
S'il est élu, un gouvernement vert augmentera immédiatement le financement fédéral des services de garde afin d’atteindre la référence internationale d’un pour cent du PIB annuel. Le Parti vert ajouterait un milliards de dollars d’investissement annuel jusqu’à ce que cette référence soit atteinte.[13]
Un gouvernement conservateur prévoit rétablir le crédit d’impôt pour la condition physique et les activités artistiques des enfants, ce qui donnera aux parents un allégement fiscal de 150$ pour l’inscription des enfants à des cours de sports et de 75$ pour les programmes artistiques et d’apprentissage.[4]
Un gouvernement libéral réélu augmenterait la Prestation canadienne pour enfants de 15% pour les enfants âgés de moins d'un an. Cela constituerait jusqu'à 1 000 $ supplémentaires pour les nouveaux parents.[46]
S'il est réélu, un gouvernement libéral adoptera une nouvelle loi pour améliorer la qualité des soins de santé dispensés aux peuples autochtones. Cette loi serait élaborée conjointement avec les gouvernements des Premières nations, métis et inuits afin de répondre aux besoins uniques de chaque groupe autochtone.[47]
Un gouvernement néo-démocrate chercherait à réconcilier les relations entre la Couronne et les groupes autochtones du Canada. Pour ce faire, le NPD élaborerait conjointement un plan d’action pancanadien pour la réconciliation. Ce plan garantirait que les lois, les politiques et les pratiques du Canada sont conformes à ses engagements en matière de droits de la personne dans la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et les 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.[50]
Le Bloc propose de développer l'autonomie administrative particulièrement en matière d'éducation, de justice et de culture, pour les communautés des Premières Nations, basé sur l'exemple de la Paix des Braves. La Paix des Braves est une entente entre la nation Cree et le gouvernement du Québec.[30]
S’il est élu, un gouvernement du Parti populaire modifiera ou abolira la Loi sur les Indiens afin de créer une nouvelle relation avec les Premières Nations. Un gouvernement du Parti populaire respectera les traités déjà signés.[48]
S'il est élu, un gouvernement conservateur veillera à ce que les projets d'infrastructure prévoient des consultations avec les peuples autochtones au centre du processus de planification.[4]
S'il est élu, un gouvernement conservateur sévira contre les gangs en mettant fin à la mise en liberté sous caution automatique des membres de gangs et en créant des peines plus lourdes pour les activités de gangs.[4]
Un gouvernement vert éliminerait les peines minimales obligatoires (peinesqui doivent être imposées pour les infractions pénales spécifiques) et autoriserait les tribunaux à déterminer les peines appropriées en fonction des circonstances propres à chaque cas.[13]
Le Bloc est d’avis que les dons privés à tous les partis politiques devraient être plafonnés à 500 $ et le financement public devrait dépendre du nombre de voix que chaque parti reçoit.[9]
S'il est élu, un gouvernement libéral interdira les armes d'assaut semi-automatiques et permettra aux municipalités de restreindre ou d'interdire les armes de poing. Pour réduire la violence avec les armes à feu, un programme de rachat pour toutes armes d’assaut sera mis en place pour toutes les armes d’assaut de style militaire achetées légalement.[51][1]