Nouveau Parti démocratique
43 ans
Ville natale: Scarborough, Ontario
Jagmeet est né à Scarborough, mais a grandi à St. John’s, à Terre-Neuve-et-Labrador, avant de s’installer avec sa famille à Windsor, en Ontario. Jagmeet a obtenu un diplôme en biologie à l’Université Western Ontario et a étudié le droit à la faculté de droit Osgoode Hall de l’Université York. Il a travaillé comme avocat de la défense pénale jusqu’à son élection en tant que député du Parlement provincial dans la région de Brampton en 2011. Avant de passer de la politique provinciale à la politique fédérale en 2017, Jagmeet était le chef adjoint du NPD de l’Ontario. Il parle couramment quatre langues (anglais, français, hindi et punjabi) et pratique le jiu-jitsu brésilien.
Un gouvernement néo-démocrate voudrait augmenter les salaires de plus de 900 000 travailleurs canadiens en instituant un salaire minimum fédéral, fixé à 15 $. Tous les stages non rémunérés en dehors des programmes scolaires seraient interdits.[1][2]
S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate mettra en œuvre un projet pilote de revenu de base pancanadien.[3][4]
ComparerS’il était élu, un gouvernement néo-démocrate déclarerait l’état d’urgence climatique et chercherait à faire du Canada un chef pour la réduction de gaz à effet de serre (GES). Le NPD investirait dans des technologies vertes afin de stabiliser la hausse de la température mondiale à 1,5 degré Celsius.[9][8]
Un gouvernement NPD chercherait à rendre tous les véhicules de la flotte fédérale électriques d’ici 2025 et à électrifier les transports collectifs et municipaux d’ici 2030.[9][8]
ComparerUn gouvernement NPD maintiendrait la taxe carbone et sanctionnera les grands pollueurs.[9][8]
Un gouvernement néo-démocrate créerait une nouvelle Banque canadienne pour le climat pour générer des investissements dans les énergies renouvelables, l’efficacité énergétique et les technologies à faible émission de carbone. Le NPD se donnerait comme objectif d’alimenter tout le Canada en électricité sans carbone net d’ici 2030 et de passer à une électricité 100 % sans émissions d’ici 2050.[9][8]
ComparerUn gouvernement NPD lutterait contre la privatisation et les frais d’utilisation du système de santé canadien.[3][4]
Sous le NPD, l’accès à des services tels que l’avortement et les soins primaires serait amélioré dans toutes les régions du Canada et les temps d’attente pour les services seraient réduits.[3][4]
ComparerS’il est élu, le NPD investira 10 milliards de dollars chaque année et travaillera conjointement avec les gouvernements provinciaux pour financer les médicaments sur ordonnance destinés à tous les Canadiens.[6][5]
Un gouvernement néo-démocrate déclarerait la dépendance aux opioïdes comme une urgence de santé publique et lancerait une enquête sur le rôle joué par les compagnies pharmaceutiques dans la crise.[3][4]
ComparerS’il est élu, un gouvernement NPD consacrera 0,7 % de son revenu national brut à l’aide au développement international.[14][15]
Un gouvernement néo-démocrate sera en faveur d’une solution à deux États entre la Palestine et Israël, dans le respect des droits de la personne et du droit international.[14][15]
ComparerS’il est élu, le NPD travaillera avec les provinces pour limiter et réduire les frais de scolarité dans les établissements d’enseignement postsecondaire et, éventuellement, œuvrer à l’intégration de l’enseignement postsecondaire dans le système d’éducation publique.[16][17]
Le NPD éliminerait les intérêts sur la dette étudiante mettant ainsi une fin aux profits du gouvernement sur les prêts étudiants. De plus, le NPD abandonnerait les prêts et augmenterait l’accès à des bourses d’études non remboursables.[16][17]
ComparerPour la réunification des familles, un gouvernement NPD mettra fin au plafond des demandes de parrainage de parents et de grands-parents au Canada et réduira les retards du système afin d’accélérer le processus.[18][19]
S’il est élu, le gouvernement néo-démocrate continuera de réinstaller les réfugiés et les demandeurs d’asile dans les communautés canadiennes. Le NPD suspendrait l’Entente sur les tiers pays sûrs avec les États-Unis, permettant ainsi aux gens de demander l’asile aux postes frontaliers officiels.[18][19]
ComparerUn gouvernement néo-démocrate investirait 5 milliards de dollars au cours des 18 premiers mois de son mandat pour créer des logements sociaux et construire 500 000 unités abordables au cours des dix prochaines années.[16][17]
S’il est élu, le NPD mettra sur pied des fonds de démarrage rapide pour construire des coopératives d’habitation et des logements sociaux à but non lucratif.[16][17]
ComparerS’il est élu, un gouvernement néo-démocrate modernisera et accroîtra l’offre de transport en commun dans les collectivités canadiennes. Le financement fédéral du transport collectif sera consacré à la mise en œuvre de projets à faible émission de carbone et à l’électrification des flottes de transport en commun d’ici 2030.[9][8]
S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate s’engagera pour rendre les transports en commun gratuits et/ou abordables.[9][8]
ComparerUn gouvernement NPD mettra en place un programme national universel de garderies.[6][5]
S’il est élu, un gouvernement néo-démocrate mettrait en place des services de garde abordables et sans but lucratif pour permettre à 300 000 femmes de plus d’entrer sur le marché du travail. De même, le NPD investirait 1 milliard de dollars dans la garde d’enfants en 2020 et augmenterait cet investissement chaque année.[16][5]
ComparerUn gouvernement néo-démocrate chercherait à réconcilier les relations entre la Couronne et les groupes autochtones du Canada. Pour ce faire, le NPD élaborerait conjointement un plan d’action pancanadien pour la réconciliation. Ce plan garantirait que les lois, les politiques et les pratiques du Canada sont conformes à ses engagements en matière de droits de la personne dans la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones et les 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation.[10]
Le NPD remplacerait la consultation par une norme de consentement préalable, libre et éclairé pour les communautés autochtones touchées par les politiques gouvernementales. Cela signifierait que le consentement des peuples autochtones serait obligatoire avant de prendre des décisions sur les droits territoriaux (comme les examens de projets énergétiques).[10]
ComparerAucune position officielle n'a été prise sur ce sujet.