Bloc Québécois
77 ans
Ville natale: Montreal, Quebec
Gilles Duceppe est né à Montréal, Québec, et est le fils Jean Duceppe, un acteur canadien-Français bien connu. Gilles a travaillé comme un infirmier, conseiller syndical, et directeur d'un journal étudiant lorsqu'il étudiait à l'Université de Montréal. Il a été élu député à la Chambre des communes en 1990 et est devenu chef du Bloc Québécois en 1997. Le 10 juin 2015, Duceppe a annoncé son retour à la tête du parti, quatre ans après sa démission suite à l'élection fédérale de 2011.
Le Bloc Québécois protègera et encouragera la croissance des industries québécoises.[1][2]
Le Bloc Québécois est contre la formation du partenariat transpacifique, à moins que des précautions sont prises pour protéger le modèle agricole du Québec, et que les agriculteurs québécois sont consultés.[3]
ComparerLe Bloc Québécois appuiera les projets économiques durables.[1]
Le Bloc mettra en place un Fond de compensation pour rembourser les efforts précédents pour inverser l'érosion au long des côtes du Fleuve Saint-Laurent, qui est le résultat de son utilisation comme une voie fluviale et commerciale. Le Fond supportera aussi les efforts pour réduire l'érosion dans le futur.[6]
ComparerLe Bloc Québécois considère que les relations avec les peuples autochtones doivent se faire de nation à nation.[7][8][9]
ComparerLe Bloc Québécois oppose la construction de l'oléoduc Énergie Est. Le parti n'a pas de position officielle sur les pipelines; il considère chaque projet individuellement et évalue ses impacts sur les intérêts du Québec.[9][8][7]
ComparerLe Bloc Québécois s'est prononcé en faveur de la décriminalisation de la marijuana.[10]
Le Bloc Québécois défend le droit du Québec de rapatrier le registre des armes d'épaule.[1]
ComparerLe Bloc Québécois exigera d'Ottawa qu'il rétablisse les pleins transferts indexés en matière de santé.[11]
Le Bloc Québécois appuie l'ouverture d'un site d'injection sûr à Montréal, affirmant son objectif que les résidents du Québec devraient faire les décisions sur les enjeux qui les touchent, plutôt que le gouvernement fédéral sous la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.[12]
ComparerLe Bloc Québécois croit à la primauté du droit et au multilatéralisme. Le Bloc Québécois est contre toute action agressive unilatérale et contre toute guerre préventive.[13]
Ces principes orienteront ses prises de position concernant les interventions de la communauté internationale en cas de conflit ou d'une intervention visant à prévenir un conflit.[12]
ComparerLe Bloc Québécois soutient les dispositions prévues dans l'Accord Canada-Québec de 1991 relatives à l'immigration et à l'administration temporaire des aubains. L'Accord décrit comment le Québec, et non le gouvernement du Canada, pourra gérer l'établissement, ainsi que l'intégration linguistique et culturelles des résidents permanents.[14]
Le Québec s'est retiré des services spécialisés d'intégration économique offerts par le gouvernement fédéral. Le Bloc continuera à appuyer cette décision de se retirer en échange d'une "juste compensation," comme prévu dans l'Accord Canada-Québec.
ComparerAucune position officielle n'a été prise sur ce sujet.
Dans ses présentations budgétaires d'avril dernier, le Bloc Québécois a demandé 400 millions de dollars en financement additionnel pour le logement social.[15]
ComparerLe Bloc Québécois est en faveur d'une réforme du financement des partis politiques, qui diminuera le maximum des contributions des particuliers et haussera la contribution de l'État.[17]
Le Bloc Québécois veut une réforme du financement des partis politiques, afin de diminuer le maximum des contributions des particuliers et hausser la contribution de l'État.[18]
ComparerSon objectif est de prouver que le Québec, afin de véritablement se développer, doit être reconnu comme une nation indépendante. Le Bloc cherche à faire du Québec gagner le pouvoir de prendre ses propres décisions politiques afin de refléter ses valeurs particulières, les intérêts et la culture.[1]
Au particulier, le Bloc continuera de défendre le français comme langue officielle dans la province, et ferait respecter les principes du projet de loi 101 serait de tenir le gouvernement fédéral responsable de fournir un niveau de bilinguisme au Canada.
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